Souvenirs, souvenirs: mon premier édito au Journal de Ngaye Méckhé !

20 février 2012

Souvenirs, souvenirs: mon premier édito au Journal de Ngaye Méckhé !

Avec mes frères et sœurs du Le Phénix ,nous avons publié plusieurs articles dans le Journal de notre lycée. Ce fut une occasion de plus, c’est-à-dire après  Saint Louis-, de me frotter à l’écriture journalistique. Et ce fût un honneur – presque un sacre-, de signer le premier éditorial:

«Enfin !!! Nous y sommes arrivés !!!

Après de multiples tractations à n’en plus finir, le Phénix prend enfin son envol.

La période d’incubation a certes tiré en longueur, mais la détermination a triomphé .Il fallait surtout relever le défit pour échapper aux acerbes moqueries de ceux qui ne pouvaient croire à la concrétisation d’une telle idée.

Les moyens se faisaient rares, les documents aussi, mais l’espoir était permis. Grâce à la coordination et à la confrontation des idées, doublées de la perspicacité de nos encadreurs, nous avons pu éclore d’un Phénix. Cet oiseau légendaire de la mythologie antique a retenu notre attention par la force de son

 

extraordinaire don retenu par l’histoire .Il se brûlait pour ensuite, renaître de ses cendres plus beau que jamais. Partant vous serez bien aise  de comprendre toute l’essence de notre combat. Au travers de cet oiseau fabuleux, nous voulons symboliser la persévérance et le renouveau.

Dans ce contexte de créativité  et d’innovation nous étions  assez interpellés pour exprimer ce que nos esprits avaient mûri.

C’est ainsi que nous avons beaucoup traité d’études à travers nos colonnes. Mais aussi l’Actu, le Social, le Sport ne seront guère en reste.

Nous remercions tout particulièrement toute l’administration du lycée avec en tête M.le Proviseur pour leur appui sans failles.

Toute notre reconnaissance à la très charmante Mamie Fall pour sa complicité et sa compréhension Chapeau Mademoiselle….

Nous remercions aussi tous les gens qui de près ou de loin, ont apporté leur plume au plumage de votre Phénix. Nos colonnes vous sont ouvertes. Nous attendons avec impatience vos critiques, commentaires et suggestions pour bâtir ensemble le second numéro…

Le Phénix s’envole, envolons nous avec le Phénix.

Bonne lecture  !»

N.B : Hélas, nous nous arrétâmes à ce premier numéro. Depuis lors, je n’en ai eu aucune nouvelle. Je suis sûr que mes lecteurs de Ngaye Méckhé me diront ! Il faut ajouter que pour ce qui est de cette appellation ô combien parlante (le Phénix), l’idée est venue de mes petites soeurs Ndèye Fatou DIENG et Sokhna Ndira Tall qui tenaient abosulement à ce qu’il en fût ainsi. Ainsi, en fût-il !

Mes hommages renouvelés à ces braves demoiselles que j’ai retrouvées à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. C’est le plus joli cadeau que je puisse espérer du Ciel.

 

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