Les petites misères de début d’année à l’UGB

18 octobre 2010

Les petites misères de début d’année à l’UGB

Les petites misères de début d’année à l’UGB

Impénitents récidivistes !

Quand bien même cela est éternellement entré dans nos habitudes, nous avons du mal à nous y accoutumer. Des files indiennes à n’en plus finir devant le resto 2 comme en atteste fort éloquemment cette illustration prise ce lundi 18 octobre 2010 à 14 heures (heure locale).

Les nouveaux bacheliers séduits par la culture d’excellence dont l’UGB de Saint-Louis s’est toujours fait la promotrice, en prendront sûrement  un sacré coup. Eux qui doivent faire le planton tous les jours en espérant que s’ouvrent les portes de l’autre restaurant universitaire d’ici sous peu. Et que dire de nos camarades Haïtiens que nous venons fraichement d’accueillir chez nous ? Venus de loin, de très loin, ils mériteraient mieux que ça. Devoir se faire languir chaque jour pour prendre leur déjeuner ne serait surement pas la bonne carte postale à rapporter du pays de la téranga après leurs trois ans de séjour chez nous.

Le plus surprenant dans cette sempiternelle série d’  « ouverture tardive des restos » est que chaque épisode semble en indiquer la fin. Depuis quand, ce phénomène était si décrié au niveau du campus ? Quand est ce que cette question sera évacuée définitivement ? Pas pour un empire ! C’est la réponse qui s’offre à notre entendement tant nous sommes habitués à ces désagréments que cause l’ouverture tardive des restos pour les débuts d’année à Sanar.

Il suffit d’aborder l’autre  « casse-tête des UFR » pour que l’éternelle question des restaurants universitaires passe pour la plus épisodique, voire la plus anecdotique misère de début d’année à l’UGB.

En effet, il suffit d’interroger les étudiants de Licence 2- Sociologie de l’année dernière pour vous imprégner de la désagréable situation à laquelle ils sont confrontés : trop d’erreurs sur le report des notes, et partant, trop de retard pour le retrait de leur attestation qu’ils doivent obligatoirement présenter en vue de s’inscrire en Licence 3.

Avec toute cette flopée de perte de temps, les étudiants de l’UGB, du moins quelques uns d’entre eux, sont restés pris en otages.

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