Arouna Sow » Je suis riche de mon carnet d’adresses que je veux faire profiter aux Gandiolais »
A quelques jours des élections locales dans la communauté rurale de Ndiébène Gandiol, Arouna Sow se confie au Gandiol en un CliC. Ses motivations, ses ambitions, ses craintes, son parcours. Cet opérateur économique de formation qui a roulé sa bosse pendant de très longues années à l’extérieur est revenu au bercail pour, dit-il, prendre les reines de son terroir. Il n’est un secret pour personne que ce fils de Mboumbaye est resté longtemps coupé et décalé des réalités de sa terre natale. Ce qui, pour nombre d’observateurs, se révèle comme son plus implacable obstacle. Mais Arouna Sow compte faire de cette limite, un avantage considérable. Il entend mettre cette expérience au service des Gandiolais. Son carnet d’adresses, que beaucoup disent épais surtout. A quelques semaines des locales, monsieur Sow a accepté de s’ouvrir au Gandiol en un CliC.



» Sur le plan international, il y a des dispositions qui sont entrain d’être prises mais l’Etat sénégalais ne pourra pas attendre les négociations de pertes et dommages entamés par les organisations. Nous allons prendre des dispositions pour venir en aide de manière incluse », a-t-il promis après une visite de terrain.
On a beau l’aimer, l’aduler, le respecter, le chouchouter, les propos prêtés à Al Makhtoum sont tout simplement DANGEREUX. On ne peut pas trouver de meilleur qualificatif pour condamner une prophétie aux accents « apocalyptiques ». Elle l’est d’autant que les commentaires et autres comptes rendus qui accompagnent la révélation de petite semaine reprennent tous l’image d’apocalypse. Comme si, y faire exception amènerait le ciel à déverser sur eux des torrents de malédiction.
Après deux mois d’absence, Ousmane Gueye reprend le micro de Xew Xewu Ganjool. Un retour qu’il place sous le seau de promesses. Cela concerne principalement la création d’un site internet pour le Gandiol. Dans ce numéro, le blogueur formule un appel à contribution pour que chaque fils du terroir lui fasse part de ses idées. Egalement passée au crible de son micro, l’actualité environnementale dans la zone. L’apprenti journaliste s’étonne de la lenteur des réponses à apporter à l’avancée de la mer.
Après l’expérience douloureuse de l’ouverture de la brèche qui lui a valu un déménagement vers Sowène, Jean-Jacques Bancal s’ouvre au Gandiol en un CliC. Dans cette interview exclusive, l’entrepreneur hôtelier nous parle du nouvel espace (deux hectares) qui lui a été accordé, des problèmes économiques auxquels il est confronté. Jean-Jacques Bancal qui se dit aujourd’hui « endetté » invite l’Etat à créer des emplois pour les jeunes.