Facebook sur le campus de l’UGB de Saint-Louis/ Sénégal
vec facebook, l’accent est beaucoup mis sur l’instantanéité, c’est-à dire, la vitesse de la livraison de l’information et celle qui y est apportée pour sa compréhension. Ce qui est étrange au Sénégal, c’est que je retrouve des personnes qui n’ont pas forcément fait l’école ou tout au moins, ne l’ont pas fréquentée pour une longue durée, et qui pourtant surfent bien sur le premier réseau social mondial. J’ai retrouvé par exemple ma couine, une femme que je n’avais pas vu depuis plus de 15 ans. Elle est devenue couturière à Dakar. Elle a, à l’instar de tout le monde quasiment, sa page facebook où elle affiche sur son profil son métier.