Ce que je suis en quelques mots…
Juste l’évocation de son nom charrie bien des souvenirs d’épopées. Rappelez-vous Soundiata Keita et la grande famille griotte des Kouyaté du Mali. Ils sont à jamais entrés dans l’histoire du pays mandingue comme le montrait Diély Kédian Koutayaté, « maitre dans l’art de parler » dans un très célèbre texte d’un livre à l’Ecole primaire. Fodé Sanikayi Kouyaté qui appartient même à cette lignée griotte a rencontré la politique tout jeune et cette impérieuse envie de débattre et d’exprimer ses opinions l’amène en 2007 à intégrer la grande famille de la blogosphère. Sauf qu’à l’époque, précise t-il, « ce n’était pas du tout une sinécure ».
Le régime de Lansana Conté avait une impitoyable aversion pour les gens qui voulaient user de leurs droits de s’exprimer.
L’implosion sociale en Guinée la même année le pousse assurément- et surtout- à poster des billets sur le net avec l’appui de quelques amis. Fodé Sanikayi Kouyaté suit les pas de Camara Laye, l’auteur de l’enfant noir. Tant et si bien que leurs biographies respectives se confondent. Tous deux viennent de cette Haute Guinée qu’on peut connaitre en profondeur en lisant l’ouvrage de Camara Laye. Il nous y entretient de son enfance, de ses jeux d’enfants à travers la nature, de ses relations familiales et surtout de la Case de son père. Il n’oublie pas le chant des oiseaux qu’il chassait avec ses amis juchés sur des minadors.
Fodé a vu le jour à quelques kilomètres du village de l’auteur de L’enfant noir. C’est donc à Balan où d’ailleurs il va à l’Ecole française pour la première fois.
Ce village n’est pas éloigné de Kouroussa, d’où son modèle, le célèbre écrivain guinéen était originaire. Le jeune Fodé fréquente le Lycée de Conakry ainsi que l’Université qui porte le même nom aujourd’hui. Il est spécialisé en droit international.
Que pense t-il du contexte actuel dans le monde marqué par l’ingérence occidentale dans les affaires étatiques africaines ? « assurément » !, affirme t-il en souriant.
Pour ce qui est de la politique de son pays qui vient d’avoir un nouveau chef d’Etat , il espère que la Guinée s’envolera vers de nouveaux cieux. Fodé aura à mener d’intenses activités puisque la Guinée a un grand tournant de son histoire.
A 24 ans, Fodé Sanikayi Kouyaté poursuit calmement son chemin. Il reste de savoir ce qu’il deviendra après l’aventure Mondoblog car il fait parti des bloggeurs francophones sélectionnés par RFI pour bénéficier d’une formation en blogging à Dakar. Vous pouvez le lire tous les jours, 24h/24 en cliquant ici: N’allons pas si loin !
Que peut-on dire d’autre sinon qu’ils sont entrain de partager l’Afrique au Sud du Sahara ! C’est vrai, entendons-nous d’emblée, nous sommes tous scandalisés par ce que fait Kadhafi dans son propre pays, régnant en maitre absolu sans partage sur le trône de la Lybie depuis plus de 45 ans. Au début évidemment, il s’agissait de supporter la contre offensive occidentale-et quelque peu arabe- contre le sadisme d’un homme qui a décidé d’en finir avec ceux qui sont épris de liberté dans son propre pays. Nous ne pouvions rester insensibles-comme Le Meursault de Campus dans l’Etranger– à cette boucherie. Voilà assurément pourquoi nous avons applaudi toute personnalité ou Etat qui pouvait arrêter ça.
Mais au rythme où vont les choses, les évènements ont pris une tournure tout à fait étonnante. Pourquoi, en cherchant à asphyxier Kadhafi, cherche t-o n à ruiner la Lybie ? Cette dernière ne se réduit pas à cette individualité et ce serait dangereux de le penser. Personne n’est fondé à détruire le pétrole libyen ou encore les infrastructures de ce pays au simple motif que c’est de Mouammar !
Aujourd’hui, je n’arrive pas à comprendre le discours de Barack Obama quand il dit ne pas du tout vouloir viser l’ancien patron de l’Unité Africaine. Pour moi, l’essence de cette « ingérence » occidentale ne peut avoir qu’une légitimité : chasser Kadhafi par tous les moyens et remettre de l’ordre dans ce pays. Si Obama n’était pas prêt à faire cela, pourquoi s’est-il alors immiscé dans l’affaire Lybie ?
Ce qui affecte encore mon sens critique est que si on nous avance l’argument de la vie pour justifier une attaque contre la Lybie, pourquoi pas le même argument pour aller balayer d’un revers de main ce monsieur de petite semaine que l’on nomme-je crois- Laurent Gbagbo ? Qui voudrait défendre que son peuple n’est pas entrain de mourir sous les balles de la tragédie qui pille la Cote d’ Ivoire ?
Entendons-nous donc : si l’ingérence occidentale dans les affaires libyennes est d’ordre « humanitaires », alors la logique voudrait que le même Occident fourre son nez dans la gestion de la Cote d’Ivoire pour nous débarrasser de ce monsieur de chef d’Etat en parfaite dérive despotique.
Au rythme où vont les choses, des gens meurent inutilement sur l’autel d’une obstination jusqu’aux dents de quelques dangereuses gens qui veulent s’accrocher au pouvoir, quitte à y être pris morts !
Si les Occidentaux veulent prouver qu’ils ne sont mus par d’autre intérêt que de venir sauver un peuple, alors ils n’ont qu’à aller en Libye.
La raison nous appelle plus que jamais à agir ou être accusés de manque d’ »assistance à des personnes en route vers l’abattoir ».
Je me suis retrouvé à l’Hôtel Espace Thaily avec mes amis de Mondoblog que j’ai déjà connus il ya six mois. Tout a commencé par une merveilleuse nouvelle sur les ondes de Radio France Internationale. Il s’agissait d’une annonce portant à la connaissance des bloggeurs francophones du monde qu’un concours appelé « Mondoblog » est lancé et qu’ils peuvent mettre leur savoir faire en compétition avec d’autres bloggeurs. C’est ainsi que je me suis embarqué dans la formidable aventure, qui, aujourd’hui m’amène à rencontrer ici au CESTI(Centre d’Etudes des Sciences te Techniques de l’Information) à Dakar l’équipe de l’Atelier des Médias .Celle-ci est composé de Simon Decreuze et de Ziad Maalouf accompagné de Cédric Kalonji.
Pendant une semaine, nous allons être introduits aux mystères du « blogging ». La cerise sur le gâteau est que nous sommes une équipe cosmopolite composée de Malgaches, de Congolais, de Maliens, de Sénégalais, de Guinéens…
C’est si magnifique de connaitre des gens à distance et de pouvoir un jour les retrouver.
Bon séjour à tous !
On ne cesse d’assister à des scènes de procès où il est fait mentionné que les présumés coupables sont accusés de crime de guerre contre l’humanité. Mais je pense que nous aussi, si nous devons rester chez nous en nous fendant chaque jour d’articles et de communiqués pour regretter ce qui se passe en Lybie, nous sommes aussi passibles d’une peine à vie pour non assistance à un peuple en danger. Le colonel Kadaffi est entrain de tuer un à un son peuple.Je ne veux même pas dire « son » car je suis sur que ces bonnes gens là ne le reconnaissent même plus.Et le ridicule dans tout, c’est que le colonel se ,eprmet de dire qu’il a des personnes qu’il peut compter comme partisans. C’est faux !
Personne ne pourrait se justifier en aidant un régime ouvertement.Je suis sur que ces gens là dont il dit qu’ils le supportent ont seulement peur de faire autrement et donc, il les tient à la gorge pour ne pas dire sous sa sujétion. Je en comprends pas toujours comment l’Unité Africaine a pu mettre un jour à sa tête ce monsieur dont les métiers se délectent bien de la barbarie et des diatribes anti-occidentales. Certaines personnes l’ont souvent applaudi pour son franc-parler et son courage. Dieu sait que j’ai toujours défendu- et ceux qui me connaissent très bien peuvent en témoigner- que Kadaffi est une forcené qui part avec l’avantage de n’avoir jamais été apprivoisé. C’est un animal apolitique-pardon, je veux dire hors de la cité. C’est un animal que personne n’a jamais cherché à rendre à la vie sociale et je me dis vraiment s’il a des sensations humaines ce monsieur. Comment, en effet, peut on faire subir de telles sauvageries à des individusqui ne demandent qu’à être libérés du joug de la révolution? Comment peut on se permettre de lancer une attaque aérienne avec des armes à feu qui ravagaent contre des gens qui souvent, n’ont même pas un bâton pour combattre ? Ces questions, je suis sur, très chers lecteurs, que vous aussi, vous vous les posez sans jamais avoir compris?
Quand je pense à Kadaffi, je pense surtout à ce monde de dirigeants qui ne cessent d’humilier leur peuple pour des raisons bassement barbares. Aujourdh’ui, très chers amis lecteurs, il ne s’agit pas de libérer les Lybiens contre la folie d’un homme à poigne prêt à tout pour son règne, il s’agit de renre un honneur à l’humanité tout entière en balayant d’un revers de main ce fou. Je suis heureux que les Américains aient fait savoir qu’ils n’écartent pas l’idée d’une intervention militaire en Lybie. Je voudrais seulement leur faire savoir que le temps est compté pour ce peuple de Lybie, qu’ils ne puevent attendre plus longtemps et plus longuement et qu’il faut rétablir la vie sur cette terre sans vie.
Je voudrais terminer en ouvrant ne fenêtre sur la Cote d’Ivoire. Nous ne pouvons aps cotinuer à doner du temps à Laurent Gbagbo. C’est ridicule qu’après avoir consenti tant d’effors en médiations, voyages, tractations et autres choses, les gens en viennent finalement à devoir entendre comme propositions: organisations de nouvelles élections, paratage du pouvoir. Des élections, on en a déjà organisées et que personne ne se fasse rappeler que les élections ivoiriennes ont été les plus chères au monde. Partage du pouvoir ? Pouqruoi se rabaisser jusqu’à ce niveau ? Laurent Gbagbo a perdu et il doit tirer sa révérence et répondre à tous les crimes et exactions commis ces derniers temps.
Si on ne peut pas régler nos conflits en Afrique, si on doit observer Kadaffi faire, si on doit fermer sa bouche et boucher ses oreilles aux appels de détresse des populations face aux tripatouillages , aux cuisines électorales et aux conneries de toute sorte, alors supprimons l’Unité Africaine, supprimons l’ONU. Un point, c’est tout !
Il y a fort à parier que des signes ostensibles d’une hypocrisie inégalable entourent la crise ivoirienne d’une épaisse couverture de duplicité. Voilà ce qui nous empêche jusque là d’y voir très clair. J’ai l’imperfection d’être convaincu qu’il ne peut en être autrement.
Je ne peux comprendre, depuis décembre 2008, date à laquelle la crise a suscité une incroyable couverture médiatique, qu’elle perdure toujours. L’Unité Africaine traine à trouver une solution pour un problème, comme je le disais dans ce blog, dont les victimes se multiplient chaque jour. Cela ne peut s’entendre que des Ivoiriens payent le prix d’une cruauté d’un ancien démocrate devenu potentat depuis. Chaque jour que Dieu fait, c’est presque nombre de gens qui souffrent de cette impasse dictatoriale.
Que personne ne cherche à nous ramener à la prétendue évidence qu’on ne peut intervenir manu militari en Cote d’Ivoire. Cet argument ne fait que renforcer ce Laurent Gbagbo devenu sourd-muet pour refuser d’entendre la voix de la raison.
Les Ivoiriens ont, comme tous les autres peuples de la Terre, le droit à la béatitude. Et personne ne peut être fondée à le leur refuser.
Laurent Gbagbo était un homme que j’ai beaucoup adoré pour avoir sérieusement organisé les élections. Dans cette impasse difficile, je veux bien croire qu’il a été amené à agir de la sorte, je en suis pas sur qu’il était animé de mauvaises intentions au début. Mais, en tous les cas, ce n’est pas une excuse : il doit revenir à la raison avant que la situation ne s’empire, plus qu’elle est entrain de le faire.
Le temps n’est plus aux tractations et négociations dilatoires. Les Ivoiriens en ont marre de ce monsieur et de ses acolytes. Il est temps que la Communauté internationale le déloge avec correction de son semblant de palais présidentiel.
Sur le campus de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, les étudiants ne décolèrent toujours pas. Depuis déjà plusieurs mois, ils ne comprennent pas l’entêtement des autorités de l’Université à vouloir ériger les Masters Pro( un des maillons de la chaine du système LMD) qui ne saurait être détaché du tout si on veut vraiment parler de LMD( Licence, Master, doctorat). Pour le moment, c’est surtout ce qui est en jeu dans la plate forme revendicative des étudiants même si un autre point d’une grande importance est à signaler. C’est bien sur celui du nombre de bourses à offrir aux nouveaux bacheliers. Cette année, l’UGB a considérablement augmenté ses effectifs et se pose alors le problème de savoir si à tous ces jeunes étudiants, pourra être accordée la bourse. Le taux qui a été attribué à ces anciens élève de terminale est loin d’atteindre le cent pour cent pour une université dont la tradition est que tout le monde soit boursier. La génération de cette année ne veut pas faire exception d’autant plus que, selon les étudiants, la position géographique de l’Université Gaston Berger de Saint-Louis amène forcément à aider ces jeunes pour qu’ils aient des moyens de s’en sortir puisuqe vivant presque distants de chez eux.
Malgré l’enchainement des mots d’ordre, rien n’y fit. Ce jeudi, les étudiants de l’UGB ont fait une descente sur la Nationale où un seeting de près de 30 minutes leur a permis de faire encore une fois face à la presse sénégalaise pour la sensibiliser par rapport à l’enjeu et au risque d’une année blanche.
Selon nos informations, un bon nombre de ceux là qui voulaient faire els Masters Pro se rabattent maintenant sr l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar pour y poursuivre leurs études professionnelles.
Il faut rappeler que depuis des dernières années, l’Université Gaston berger de Saint-Louis s’est rendue tristement célèbre à force de grèves, manifestations, conférences de presse autour de ces enjeux …
A Saint-Louis, les étudiants, du moins quelques uns d’entre eux n’excluent plus l’année blanche comme éventualité ou tout au moins, l’invalidation du premier semestre ou encore l’élimination de la seconde chance qu’n donne aux étudiants quand ils ne réussissent pas les premiers examens.
Mame Dieynaba était sans pareille. Petit curieux que je n’ai jamais cessé d’être, je lui posais mille questions sur sa jeunesse au milieu de la brousse et des troupeaux de vaches, chèvres, moutons et autres. On eût dit qu’elle avait une mémoire d’éléphant, tant rien ne lui échappait de toutes ces flopées de souvenirs qui se chamaillaient dans son esprit. C’est avec regret aujourd’hui que je constate que je n’ai plus l’interview qu’elle m’avait accordée alors. Elle m’y entretenait de sa vie de jeune fille avec ses parents, des membres de son lignage, de ses joies et de ses heurts. Ce jour-là, comme d’habitude, je l’avais rejointe sous l’ombre des arbres qui se dressaient devant sa chambre. Je lui expliquais mes intentions et tout de suie, elle accepta de se raconter. De longues histoires ponctuées à chaque fois de rires. Je suis sûr que c’était le signe que le temps l’avait dribblée, l’avais devancée et maintenant, elle était la dernière des plus vieux descendants de ses parents. Son jeune frère qui en était l’avant dernier, est décédé quelques années auparavant alors que je me trouvais
Mame Dieynaba a rendu l’âme ce mardi 15 Février 2011 aux environs de 22heures si j’en crois mon jeune neveu Abdoulaye.
J’ai du mal à me rendre à cette évidence là que plus jamais je ne la reverrai sur terre. Nous étions nombreux à l’avoir accompagnée hier matin vers sa dernière demeure. Très concentrés sur ce que nous faisions, nous priâmes pour elle plusieurs fois, puis, le cœur serré, la glissâmes doucereusement dans sa tombe que nous avons ensuite refermé par des pelles de sable tantôt avec nos mains nues, tantôt avec un outil utilisé pour ça.
Cette scène d’une tristesse à rendre fou reste encore gravée en moi. Je n’arrive pas à croire que Mame Dieynaba est partie. Je n’arrive pas à croire qu’après mon retour de Saint-Louis, en accourant vers sa chambre, je trouverai quelle est cruellement vide. Je n’arrive pas à croire que cette scène était la dernière que je partage avec elle dans ce bas-monde.
Avec toutes mes larmes et un cœur meurtri mais qui se repentit soudain, je prie que Le Très Miséricordieux t’accueille dans son doux paradis.
AMINE
Le parc automobile du Gandiol est très vieux, voire très archaïque. De vieilles voitures desservent tous les jours les villages de Dégou-Niayes, Mboumbaye, Darou Salam et autres pour aller donc à Saint-Louis. Des véhicules, dont la plupart ont franchi leur limite d’âge depuis maintenant des décennies. De très bruyantes carcasses se déplacent difficilement sur la route déjà cahoteuse. J’ai eu la malchance de tomber ce mercredi sur une d’elles. On voyait très nettement la rouille du fer déjà en état d’avancement très usé. E chauffeur la conduisait avec trop de finesse car c’est la qualité qu’il faut pour la déplacer. Dieu sait qu’il avait attaché à l’une des portières une solide corde pour la maintenir, avant qu’elle ne tombe. Et au cas échéant, dites bien chers lecteurs qu’adviendra au client qui s’est assis juste à coté ou bien qui reposait tout son corps sur cette porte ?
A un certain moment du parcours entre la ville de Saint-Louis du Sénégal et Dégou-Niayes, le chauffeur immobilisa son cadavre de voiture au bord de la route. Il s’assura que la portière était bien attachée, donna quelques grosses goutes d’eau dans la machine, puis repartit aussitôt.
Après avoir quitté carrément la ville de Saint-Louis, il se permit de s’arrêter, même si le nombre de places était déjà à sa limite. Il logea deux autres personnes dedans, bousculant toutes les autres et sans même leur avoir demandé leur avis.
Je n’ai constaté aucun gendarme le héler ou l’interpeller comme si eux aussi n’en avaient pas à cirer de cette voiture dont personne ne voulait ce mercredi là.
Comme ce chauffeur, ils sont nombreux ceux là qui conduisent ces genres de voitures. Ils ne manquent pas des arguments de survie quand vous leur dites de garer toutes ces « carcasses ». Ils se donneront surement la promptitude de vous rétorquer que c’est d’elles qu’ils tirent leur subsistance. Mais je veux bien savoir donc si c’est bien du risque qu’on fait courir à ses semblables tous les jours qu’on prélève sa nourriture ?
Dans la région de Saint-Louis, perdu au très fonds de la communauté rurale de Gandiol, le village de Dégou-Nia village de ladite localité dit qu’elles seront privée du courant électrique qu’elles attendent depuis plusieurs décennies. Pour rappel, le village loge dans les profondeurs de Gandiol. Livré à lui même, il n’a pas d’éclairage et les habitants sont en colère. Elles argumentent ce courroux en défendatnt que le Chef de vilage avance qu’ils n’ont pas payé leur impôts. Depuis quand l’imposition est attachée à l’électrification?