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Le Gandiol en un CliC
24. janv.
2011
Exercices d'analyse
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A l’UGB,la grève étudiante !

La grève est arrêtée-sinon disons par circonspection suspendue-  à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, du moins, c’est encore le cas lorsque nous mettions cet article sous presse.Le mouvement étudiant semble faire figure de  lame de fond pour le moins, c’est ce qu’on peut dire. Ses agissements se font selon les réformes que les autorités universitaires veulent impulser ou pas à Saint-Louis. Par exemple, l’année passée a vu se dérouler le débat autour de la privatisation des masters Pro, jusque là, qu’on payait sans bourse délier.Cette année surtout témoigne surtout de la montée en puissance de la volonté de l’Université de l’imposer coûte que coûte. Ce que n’entend pas du tout le mouvement étudiant qui se bat avec en tête la Coordination des étudiants de SaintLouis( CESL).

Difficile de remporter la victoire dans une Université où on semble se décider de ne pas se plier devant les étudiants car  en donnant toujours raison à ces derniers, ils finissent par désacraliser l’Institution de Sanar. La question de la privatisation des Masters Pro agite un très vieux débat qui a monté depuis et mettant sur la table la privatisation même de l’Université sénégalaise. Cela inquiète gravement les gens qui ne sont pas très bien aisés ici. Ces « fils de paysans » comme ils adorent se nommer voient ainsi leur avenir hypothéqué par une Université quis semble décidée à appliquer la mesure de la privatisation. D’autres opposent comme objections qu’une institution publique ne saurait être privatisée. D’autres et d’autres encore de dire: s’il s’agissait d’envoyer nos enfants étudier dans une institution « privée, nous pourrions le faire en dehors de l’Université. Si nous y venons, c’est parce qu’elle est publique.

Ce qui est encore curieux et que je voudrai signaler, c’est que la Coordination avait d’abord dit qu’elle a rencontré le ministre et que ce dernier avait promis de régler la question au plus vite.Aujourd’hui, autant que nous sachions, rien n’y fit. Dans une de mes chronique intitulée « Jusq’ouira Bayballaye Kane ?« , j’exprimais mon étonnement.

Au moment où nous mettons cet article en ligne, l’Assemblée générale des étudiants vient de se terminer. La grève connait un arrêt en attendant que les promesses soient respectées.

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24. janv.
2011
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La chronique de Ousmane Gueye

Très chers amis lectuers de mondoblog et de partout Je voudrais partager avec vous cette chronique que j’ai écrite la semaine dernière en hommage à ces magnifiques gens qui nous ont accueilli et complété notre formation au journal Lecampus. Lecampus est un titre des étudiants de l’Universite Gaston Berger du Sénégal qui est la deuxième née après celle appelée Cheikh Anta Diop de Dakar, au Sénégal. Je l’ai écrite avec beaucoup d’émotion et de tristesse, convaincu que je suis, que ces gens avec qui j’ai travaillé pendant longtemps, vont devoir nous quitter d’un seul coup.Je voudrais surtout partager avec vous ces lignes qui suivent.Pardonnez moi de m’être trop épanché- si vraiment vous me trouverez ainsi.Bref, je vous prie aussi de me dire tous vos conseils et recommandations en matière de gestion d’un site internet de journal.J’attends avec impatience vos avis.

Voici le lien de la chronique

Ousmane Gueye

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18. janv.
2011
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Très chers amis de mondoblog

Très chers amis de mondoblog et de partout

Vous ne pouvez savoir comme je suis honoré d’avoir travaillé avec vous et avec l’appui de vos critiques et commentaires pendant toutes ces dernières semaines surtout.Je vous en remercie énormément.Je me rappellerai vos messages les plus émouvants, vos suggestions les plus judicieuses et vos critiques les plus constructives.

Nénamoins,laissez moi écarter tous commentaires.Je ne vous écris pas ce message parce que je compte vous prendre congé tout de suite.Mais je l’écris surtout pour vous exprimer mon sentiment de gratitude et de reconnaissance.Je me suis beaucoup amélioré avec les tutoriels de Cédric Kalonji et de son équipe.J’ai échangé avec de grandes, de très grandes plumes un peu partout à travers le monde par l’entremise de ce magique mondoblog.J’espère qu’apès cette aventure, nous aurons la chance de discuter encore et de nous retrouver-pourquoi pas-un jour.De Madagascar, passant par la Cote d’Ivoire, le Burundi jusque même dans les rues et les recoins de ma propre Université, j’ai échangé avec de grands hommes dont je me souviendrais toujours inchAllah.

J’espère encore que ces derniers jours avant la fin de l’aventure seront les meilleurs de tous.

Merci encore une fois

Ousmane Gueye Université Gaston Berger de Saint-Louis. Le lien de mon blog reste le même.

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18. janv.
2011
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Mes pensées à Ndongo Lô

Cinq ans(1975-2005) après sa disparition, Ndongo Lô reste toujours dans nos coeurs. Ce jeune homme parti à la fleur de l’age laisse derrière lui une très jeune famille qui ne s’attendait surement pas à le perdre à cet instant où il rentrait glorieusement dans l’histoire de la musique sénégalaise. Son dernier album « adouna » est empreint de relents nostalgiques. Il est en effet allé puiser jusque même dans les profondeurs de son enfance et de sa jeunesse passées dans les rues animées de Pikine, à Dakar, au Sénégal. C’est l’exemple lorsqu’il chante ses amis d’enfance en disant « manou malène bayi »( je ne pourrais vous abandonner). Ces airs pleins de reconnnaissance, de gratitude et surtout d’humilité le rehaussent à des niveaux très élevés d’humanisme. Il avait compris que la vie d’ici pas n’était que passage et souvenirs. Ceux qui l’ont connu ne cessent de tarir sur ses qualités humaines.On rapporte qu’il voulait, contre le gré de son père, entrer en musique pour sortir sa mère de l’ornière quotidienne dans laquelle elle semblait enlisée. J’ai appris la mort de Nongo Lô un soir du mois de Janvier 2006 alors que j’étais élève au CEM Henry Louis Guillabert de Saint-Louis du Sénégal.J’étais sou l’émoi.Et je suis sur, très chers lecteurs- vous l’aviez connu- que vous l’étiez aussi.

Sur cette couverture de son dernier album « adouna », on peut le voir fuyant du regard comme s’il nous parlait une dernière fois. Peut être que lui seul savait ce qu’il entendait par là. Peut être que lui seul du fond de sa tombe peut nous éclairer sur cette position. Cela dit, du fonds de sa sépulture, il serait préoccupé de tout, sauf des affaires terrestres. Que la Miséricorde d’Allah soit avec lui.

Que la terre de Touba lui soit légère !

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17. janv.
2011
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Tunisie: Hommage à la rue !

Celui qui avait déposé Habib Bourguiba au matin du 07 Novembre 1987 vient d’être, à son tour, déposé par la rue. Il avait pourtant suscité tant d’espoirs avant de se ravaler au pitoyable statut d’un « distilleur » de désespoirs. Ceci fait écho à ce que je disais récemment sur mon blog. En effet, j’avais exprimé l’étonnement que les hommes d’Etat les plus ovationnés par les foules trahissent très souvent. J’avais cité l’exemple de Staline que ses contemporains appelaient « le petit père des peuples », tant sa vision socialiste dépassait le strict cadre de l’URSS. Mais je ne serai pas en porte à faux dans mon exemplification quand je cite Moussa Dadis Camara de la Guinée, dont les premières mesures ont eu l’adhésion des populations. Que dire du cas du Sénégal dont le Président de la République était accueilli comme le sauveur dans les rangs des jeunes.  Aujourd’hui beaucoup d’entre eux ont déchanté. Dans leur esprit désillusionné, le wadisme et l’alternance résonnent comme une farce.

Le règne de l’ancien premier ministre de Bourguiba et aujourd’hui ancien chef de l’Etat laisse des relents de « martyrisation » de la démocratie. Je ne parle même pas de ceux de ces derniers jours, je veux dire de la lame de fond encouragée par la rue. Zine el-Abidine Ben Ali a pendant ses années de pouvoir négocié avec les extrémistes de son pays et pratiqua une politique modérée. Il encouragea l’arabisation de l’enseignement et la diffusion des appels à la prière à la Télévision. Il promit le multipartisme, même s’il s’en rétractera très vite.

A coup sûr, Zine El-Abedine Ben Ali ne pensait jamais que le peuple pouvait avoir raison de son entêtement au pouvoir. L’une des grandes vertus de la Renaissance est d’avoir remis l’homme au centre de ses préoccupations : l’humanisme. Les peuples de toutes sortes et de tous horizons ne doivent jamais être privés de leur droit le plus intangible de décider de l’avenir de leur pays. Hélas, nombre d’individus défient encore les prescriptions de la morale et de la démocratie en faisant primer leurs caprices et fantaisies personnels au détriment de la volonté générale.

L’exemple de la Tunisie vient encore nous rappeler que personne ne doit se croire au dessus de la loi. Que personne ne doit sous estimer la capacité de réaction et de rébellion des peuples.

Gloire à la rue !

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16. janv.
2011
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SENEGAL:Vous avez dit pays d’hospitalié ?

Le Sénégal est un pays de téranga, c’est-à-dire d’hospitalité. De partout on le chante, et s’en enchante à l’envi. On veut en faire une marque de fabrique associée à l’image de l’entreprise « Sénégal ». D’autres pays comme le Burkina Faso affirment aussi n’être pas moins hospitaliers, mais les Sénégalais- du moins une bonne partie d’entre eux- n’entendent pas partager cette qualité.  Ils veulent croire qu’ils sont les seuls sur cette terre à qui la nature a doté d’une obligeance. C’est difficile de démentir l’existence de cette tradition, mais nombre de faits m’amènent à émettre des réserves pour le moins prudentes.

Elles sont nombreuses, ces scènes quotidiennes où cette « hospitalité sénégalaise » est mise à rude épreuve. Des gens sont atteints des plus virulentes maladies, on les fuit comme une peste. Quand ils décèdent, on accourt vers eux en disant que « s’ils ne manquaient que d’argent, tel ou tel n’allait pas mourir ». C’est alors qu’ils mettent la main dans la poche et en sortent nombre de billets de banque pour payer les funérailles où c’est l’occasion de se donner en spectacle, de se faire un nom et une renommée. Un très célèbre homme a rendu l’âme au Sénégal dans une pitoyable occurrence. Laissé à lui-même, oublié par ceux qui devaient lui venir en aide, abandonné par ses proches, le pauvre se débattait dans la plus cruelle des solitudes. Seul pour pleurer son triste sort, condamné à le subir loin de toutes sollicitudes, il est alors bien fondé de s’interroger sur le sens de ses relations avec les autres.

Hélas, il n’aura pas le temps de satisfaire à cela. Il mourra dans une totale indifférence que ses proches  ont manifestée à son endroit. Lors de la prière mortuaire, des « monsieur » aux « gros bonnets » ont eu le culot d’affirmer au vu et au su de tout le monde que s’il n’était question que d’argent, ce malade n’allait pas les quitter. Un ami me mit dans cette confidence : « Lorsque ma mère était malade, un de ses proches n’a rien fait pour elle. Après le décès de sa maman, le proche a accouru pour dire qu’il est près à payer le prix du veau servant à assurer les funérailles.

Notre société serait-elle devenue sadique et indifférente à tout ? Et si nous développions en nous des « monstres sociaux » prompts à signer notre arrêt de mort ? Et si la société sénégalaise du XIXème siècle était-elle vouée à l’éclatement ?

Un auteur a parlé de la « fin de la société ». Dominée par l’individualisme, libérée de tout déterminisme, qu’adviendra t-il donc de cette grande masse dite « société » que nous formons et qui est entrain de nous échapper de plus en plus ?

N’est ce pas que c’est cette configuration subjective et objective de la société qui en crée les monstres, les blasés, les criminels, les frustrés, les terroristes, les sadiques à la lumière d’un personnage dans « Prison Break » qu’aucune émotion ne peut venir décourager le moindre méfait ? Demain, que personne ne s’étonne du produit des rapports sociaux. Nous en sommes responsables individuellement et collectivement.

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12. janv.
2011
Reportages
2

Fascinations et répulsions de la lutte senegalaise

La lutte sénégalaise enchante parfois, émeut souvent, mais passionne toujours les foules. Les gens la trouvent exaltante. D’aucuns, collés à leur poste radio ou à l’écran de leur téléviseur commentent avec émulation et folie les succès et gloires des lutteurs. Des images faites de forces matures, de muscles vivants, de coups de poing échanges à qui mieux mieux, des corps parfois ensanglantes. Les fans de ce sport n’en reviennent pas: jamais un passe -temps aussi impressionnant n’avait jusqu’ici emporte l’adhésion des masses.

Hélas, la lutte fait quand même des ravages qui continuent d’œuvrer de manière sous-sous-sous-jacente. Elle est présente jusque dans l’esprit des enfants, et particulièrement des écoliers. Ce n’est plus pratiquement les grands noms de l’enseignement qui sont mis en avant, mais plutôt ceux comme Yekini, Tyson, Balla Bèye et consorts. Il m’arrive très fréquemment d’observer des scènes pittoresques où je vois des bambins se donner en spectacle au rythme des battements de tam-tams. Ces petits, hélas, ne parlent d’études que très rarement. La grande couverture de la lutte sénégalaise, surtout par la super puissance des médias leur a donne l’illusion qu’on ne peut réussir qu’en lutte, qu’au corps à corps où on roue son adversaire de coups.

Ce qui est grave, c’est que ce sont nos jeunes enfants qui tombent sous le charme de ce sport. Je n’ai rien contre, mais je pense que les adultes ne mesurent pas avec une juste intelligibilité des choses le drame de ce phénomène. Dieu sait que j’ai demande à mon petit frère ce qu’il voulait devenir avec l’obtention de son BAC, sa réponse ne tarda pas: » je veux devenir lutteur ».

Du matin au soir, ces pauvres gamins défilent et exultent sous le battement des tam-tams. Cela est relaye par une communication ingrate qui laisse croire qu’on ne peut avoir de l’argent qu’en lutte. Regardez ce milliers de scènes, où juste pour quelques secondes, le lutteur perçoit des million de Francs C FA.

Mais ce qu’on ignore, même si tout le monde s’engageait dans la lutte, ce n’est pas tout le monde qui aurait perçu cette somme. Entendons nous bien: sur plus de milles lutteurs, une dizaine ou un peu près de ça serait paye ainsi.

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10. janv.
2011
Reportages
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Du bon usage de la guérison de Dadis Camara

L’entretien de Moussa Dadis Camara sur Rfi ce dimanche 09 Janvier 2011 est un rappel à la justice nationale et internationale qui doit s’autosaisir de son cas. C’est l’heure à mon avis d’éclairer l’opinion internationale sur les événements du 28  septembre en Guinée.

Pour une première fois dans l’histoire de ce pays, un groupe de militaires décide de rentrer dans l’histoire avec fracas et s’imposer pour conduire la transition. Avec fracas puisque nous savons comment s’est terminé ce vœu même si je ne peux gager que c’était leur volonté de déstabiliser cet Etat. Ce jour-là, de nobles hommes et de vaillants citoyens ont été malmenés comme des malfrats, des femmes violées, d’honnêtes gens sacrifiées sur l’autel de l’animosité.

Il serait injuste de faire de cette barbarie une parenthèse de l’histoire contemporaine de la Guinée. Ces hommes ne devront pas mourir pour rien. Et comme le dit l’autre, « il ne peut y avoir de paix sans justice ». Il serait plus judicieux de réparer ces crimes abominables pour ne pas créer  une mémoire collective blessée qui peut exploser à tout bout de champ.

Nous n’appelons ni à un « lynchage médiatique », au réveil de la haine. Nous entendons juste espérer qu’au moins la communauté internationale peut se saisir du dossier de ce capitaine pour mettre la lumière sur les événements du 28 septembre en Guinée. Ainsi, tous ces gens qui rôdent autour du pouvoir , que ce soit en Afrique ou ailleurs, sauront que sur cette planète, nul ne peut obéir à ses instincts barbares et continuer de se la couler douce après.

J’espère que cet appel sera entendu !.

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07. janv.
2011
Le Grand Entretien
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SENEGAL:Pour une revue de la revue de presse

Après la « transhumance journalistique » au Sénégal, je vous convie maintenant à un petit regard sur la pratique de la revue de presse. La pensée commune assimile ces genres de revues de presse comme étant plutôt des commentaires de presse. Je suis mal placé pour énoncer et prononcer le jugement. Toutefois, je me crois autorisé à m’exprimer la dessus.

Au lieu de prendre le sujet sous l’angle de la définition de la revue de presse ou non, je voudrais plutôt vous livrer cette remarque intrigante. En effet, je me demande ce qui se cacherait derrière la pratique de la revue de presse qui fait que ceux qui la font sont pris d’une passion et d’un enthousiasme irrépressibles. On eût dit qu’ils tiennent vraiment à ça comme à la prunelle de leurs yeux. Chaque journaliste préposé à la revue de presse se tue d’exceller et mieux attirer la sympathie de cet auditoire dont la majorité n’en ont qu’à écouter et remplir la journée de commentaires à n’en plus finir.

Ceux qui font cette revue de presse tendent d’être le plus original possible pour se démarquer de leurs confreres qui en font aussi. C’est tellement amusant à leur prêter une attention.Ils excellent parfois par leur usage de l’ironie, parfois du « sensationnel », mais restent toujours « captivants ».

A coup sur, par ces temps qui courent, les journaux sportifs et surtout ceux traitant de la lutte sénégalaise, devront se tirer d’affaires.

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Auteur·e

L'auteur: Ousmane Gueye
Journaliste, blogueur, passionné de TIC et de sciences politiques

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